Arrêt compromis du thermique en 2035
L’Europe, qui veut nous faire « rouler plus blanc que blanc » en imposant à marche forcée le tout électrique, a acté en juillet dernier l’arrêt de la vente de véhicules thermiques neufs en 2035. Mais pour que cela se fasse, il faut qu’il y ait une majorité absolue des Etats ce qui n’est, heureusement, pas encore le cas. Déjà, l’Italie est parvenue à imposer ce que l’on appelle « l’amendement Ferrari »,
qui donne une dérogation aux petits constructeurs produisant moins de 10 000 autos par an. Une décision logique, visant à défendre une industrie de pointe et des milliers d’emplois derrière. Et désormais, en plus de la Hongrie et de la Pologne qui refusent également de basculer vers le tout électrique, c’est au tour de la puissante Allemagne de botter en touche. La raison est que les constructeurs, dont Porsche en tête, pensent à raison que l’électrique n’est pas aussi vertueux que cela, et surtout qu’il existe des alternatives propres, comme les carburants de synthèse. Une prise de conscience salutaire qui, on l’espère, va gagner progressivement les autres constructeurs… et tous les pays européens, pour arrêter cette folie !